Le portail / Poste de garde

par **Argawaen** Mer 27 Juil - 10:42

Dans cette grande entrée qui recouvrait le domaine de toute vue extérieure on pouvait voir gravé sur les pierres du muret une devise... La devise de sa défunte mère... Et la sienne...

" Orbe Fracto Pes Illaesa "
" Etiam sine Defensionis Terribilis sum "

Cette phrase signifiait " A Monde brisé, Espoir Indemne. " et sa devise signifiait " Même sans défense je reste redoutable. "
Le Malemort regardait la gravure puis esquissait un sourire, il voulait une trace de Mylène, et cet endroit était parfait.

Il fit également placer les blasons familiaux concernant la famille "Dehuit" et "Malemort".

Le portail / Poste de garde Fam210

par **Leonna** Ven 29 Juil - 21:45

Il était tard, quand la jeune fillette arriva au Castel des Malemorts. "Enfin !" pensa-t-elle. Elle lâcha un soupire de contentement. Devant elle, un batiment, qui bientôt lui servirait peut-être de maison.

Elle était venue seule, souriante et timide.

Elle appela alors.

- Y a quelqu'un ? Je viens voir Dame Valeryane et Sieur Argawaen.

par **Argawaen** Ven 29 Juil - 21:52

Un garde avait fait patienter la jeune femme qui s'était présentée au portail du Castel et s'était dépêché de venir quérir le Dehuit de Malemort.
Argawaen lui demanda qui cela pouvait être et le garde lui répondit.

Elle ne m'a pas dit de nom Senher, juste une jeune fille...

L'homme se leva, fit signe au garde de l'accompagner et fila rapidement à l'entrée. Au passage il demanda à une servante de prévenir sa douce et de lui dire de les rejoindre au portail. A tous les coups il s'agissait d'un enfant de l'orphelinat dont ils avaient fait la demande il y a peu.

Arrivant au portail il demanda au garde d'ouvrir la porte puis regarda la jeune femme.

Bonjour Donà... Donà? Je suis Argawaen Dehuit de Malemort, Senher de Lugan. Qu'est ce qui vous amène par ici?

Argawaen était imposant, sa tenue débraillée, bah oui après tout il était chez lui il pouvait faire comme bon lui semblait. L'ours comme on l'appelait, de son regard bleu il fixait la jeune femme et attendit sa réponse.

par **Leonna** Sam 30 Juil - 11:00

Bonjour Donà... Donà? Je suis Argawaen Dehuit de Malemort, Senher de Lugan. Qu'est ce qui vous amène par ici?

Impressionnant, pour une gamine de 13 années ! L'ours était grand et baraqué, mais semblant aimable et non sur le point d'attaquer. La jeune fillette sourit, doucement, puis répéta ce qu'on lui avait demandé de dire.

- Bonjour Messire. Je suis Leonna, j'ai treize printemps, et je suis envoyée par l'orphelinat.

Pause.

Allait-il comprendre ?

- Je viens pour l'adoption...

Oui. Ca faisait quelques jours qu'on lui répétait " tu va enfin être libre ! Avec une famille, des frères & soeurs, un père et une mère..."

Mais cette famille pouvait encore refusé. Et elle ne pourrait se réjouir qu'une fois certaine qu'elle serait acceptée.

Sa bouille à croquer, encadrée de cheveux blonds et sa taille moyenne

indiquait bien qu'elle n'était pas une adulte, ni complétement enfant. En plein changement.

A treize, rien n'est impossible !

par **Argawaen** Sam 30 Juil - 11:14

L'homme souriait en entendant la jeune femme lui dire qu'elle venait pour l'adoption. Sa compagne allait être ravie de l'apprendre.
S'approchant le plus près possible l'homme prit la jeune femme dans les bras et la regarda.

Treize printemps? Cela ne fait plus aucun doute, c'était bien vous que l'on attendait.

L'homme vit passer Aarhon, toujours en train de trainer celui là... Et sa douce qui venait toujours pas...

AARHON ! VA M'CHERCHER VALERYANE !

Son homme de main sursauta et à moitié paniqué fila rapidement. Riant de le voir partir de tous les côtés sauf dans la direction du Castel il se tourna de nouveau vers la jeune femme.

Ma fille, nous allons attendre ta mère, elle aime se faire désirer et parfois c'est pénible... Les femmes j'vous jure... Pour une première visite de Lugan je souhaite que cela se fasse en famille. Ainsi tu verras également tes frères et soeurs.

Souriant l'homme se plaça aux côtés de Leonna et attendit patiemment l'arrivée de sa belle.
Il était passé du vouvoiement au tutoiement, pour lui elle faisait déjà partie des Dehuit.

par **valeryane** Sam 30 Juil - 11:30

Val était en train se préparer Earnan et Alistaïr pour la journée quand elle vit arriver Aarhon tout essoufflé, que lui arrivait t-il, ses yeux était grand ouvert comme si il avait vu un monstre.

Dame Valeryane Dame Valeryaaaaaaane, votre époux vous faire demander à l'entrée, ya un damoiselle quiattend.

Arf oui c'était vrai qu'il attendait une jeune damoiselle de l'orphelinat.

Oh! zut j'avais oublié tout ça moi, j'arrive Aarhon je vous suis

Val en compagnie de Sinatra et des deux petit ours brun et oursinette dans le ventre, allait de ce pas
direction l'entrée, Arga ne savait pas encore qu'elle attendait un enfant, mais elle lui annoncerait des
que cela sera possible pour lui faire une surprise. Essoufflée le volcan arriva avec la compagnie
une jolie jeune fille blonde attendait avec son ours, elle s'approcha Earnan dans les bras Alistaïr dans ceux
de Sinatra.

Voila me voila je suis là mon ours je suis là.

Petit sourire charmeur de Val pour pas qu'il grogne

par **Argawaen** Sam 30 Juil - 11:35

Après une attente ~~interminable~~ légèrement longue le Dehuit voyait enfin sa belle en compagnie leurs fils et de Sinatra.
Ce n'était pas trop tôt... Pourtant elle savait bien qu'il avait horreur d'attendre, mais bon, comment lui en vouloir alors qu'elle faisait déjà beaucoup pour lui... Mais par contre il allait tout de même râler pour l'avoir fait poiroter.

Ah bah quand même ! Mademoiselle prend tout son temps. Tsss j'vous jure...

Souriant en coin l'homme poursuivit.

Mon coeur, je te présente Leonna, treize printemps comme elle dit et envoyée directement de l'orphelinat. Nous l'avons attendu ce jour et il est enfin arrivé.
Leonna, je te présente Valeryane, ta maman, et les petits ours que tu vois sont Alistaïr, deux ans, le plus grand et Earnan le petit dernier.

Regardant sa belle.

Une Dehuit de plus n'est-ce pas ?

par **Leonna** Sam 30 Juil - 11:56

Un sourire se forma quand il la prit contre lui.

Une nouvelle Dehuit ? Son coeur fît un bon. "Ma fille".

Elle avait même failli en pleurer. C'était si beau ! Comment expliquer ça... C'était comme si l'on lui offrait une vie. Plus belle, plus épanouissante.

Leonna, je te présente Valeryane, ta maman, et les petits ours que tu vois sont Alistaïr, deux ans, le plus grand et Earnan le petit dernier.

Le regard de la jeune blondie se posa sur une femme. Elle portait un enfant, Earnan, et une femme en portait un autre, Alistaïr.

Une jolie famille qui lui ouvrait les bras.

- Je... Je... Timide ? Un peu... Bonjour... Maman.

Un mot si doux, si nouveau ! Un mot au son mielleux, qui rime avec bonheur, pour la jeune fille.

Une Dehuit de plus n'est-ce pas ?

Oui. Une grande fillette dans la famille.

Une nouvelle. Un espoir, aussi, pour la jeune Leonna.

par **valeryane** Sam 30 Juil - 12:10

Valeryane ne renchérira pas sur qu'elle était longue gnagnagna! Enfin bref elle avait l'habitude
de son ours grognon râleur des fois, elle se concentra sur les long cheveux blond de la jeune fille
devant elle, cette jeune damoiselle qui allait être sa fille, cela faisait 4 enfants dans la famille déjà
Val était ravie, elle s'approcha de la jeune fille, Val savait ce que le mot orphelinat voulait dire, elle savait
aussi la solitude que devait ressentir Leonna par moment, un sentiment d'abandon, la peur de l'avenir du
devenir, dans ces cas là on devient ou servante ou catin, c'était si difficile pour ces enfants sans parents.

Val était contente si elle pouvait tous les adopter elle le ferait, elle donna Earnan à son ours, elle caressa la joue de Leonna déposa une bise sur son front et la serra dans ses bras.

Soit la bienvenue au castel de Lugan et chez les Dehuit de Malemort Leonna, soit ce jour ma fille et accepte
mon amour de mère que je te donnerais comme si tu était de mon propre ventre et de mon sang.

Val était aussi émue que Leonna, deux filles deux garçon et peut être encore la famille s'agrandira encore, et à son tour elle verra ses petits ours faire leur vie, prendre femmes et prendre homme pour suivre la lignée des Dehuit.

par **Leonna** Sam 30 Juil - 13:25

Leonna sourit, quand le petit ourson passa de la mère au père, frôlant la jeune fille. Qu'il était mignon ! Un véritable ange. Plus beau que tout les enfants qu'elle avait connu à l'orphelinat. Puis, une main vint caresser sa joue frêle, geste emplie de tendresse. Une bise se posa sur le front de la pré-ado, qui se blottit dans les bras maternels offerts.

Soit la bienvenue au castel de Lugan et chez les Dehuit de Malemort Leonna, soit ce jour ma fille et accepte
mon amour de mère que je te donnerais comme si tu était de mon propre ventre et de mon sang.

- Merci.

Un simple mot, qui veut dire beaucoup. L'étreinte de la jeune fille se ressera, et elle laissa les larmes de joies couler sur ses joues.

Le plus beau jour de sa vie.

par **Argawaen** Sam 30 Juil - 13:27

Les présentations étaient faites, Leonna faisait partie de la famille Dehuit désormais, plus qu'une maudite paperasse à faire afin de confirmer cela et elle appartiendrait à la branche adoptive de la famille.
Ses deux fils allaient avoir un soeur, certes pas une soeur de même sang mais une soeur quand même. Lui allait être le père de cette jeune femme et cela lui plaisait. Trois enfants déjà, peut-être d'autres plus tard. Le nom perdurera et le chef de famille en était satisfait.

Maintenant il restait à savoir si Leonna allait accepter l'amour de Valeryane, à priori elle avait déjà acceptée le sien puisqu'elle n'avait rien dit lorsqu'il l'avait prise dans ses bras.
Sa douce lui donna Earnan et serra Leonna dans ses bras, souriant en voyant la scène il prit la parole.

Je ferais préparer ta chambre et je ferais en sorte que tu ais tout le confort nécessaire. Une fois que tout le monde sera prêt nous irons au Castel afin de te faire visiter et de t'indiquer ta chambre. Tu te sentiras bien ici, crois moi.

Dehuit laissa les femmes un instant et s'éloigna afin de les laisser entre elles. Bien qu'il aimait les enfants il ne montrait pas souvent ses sentiments. Il tenait ça de son père, il était présent dans les moments difficiles, toujours présent pour eux, toujours là pour les conseiller mais il n'était pas un père parfait.

Il regardait Earnan, le petit dernier, déjà bien éveillé pour son âge, il tenait de son frère pour ça, Alistaïr allait être un homme turbulent...

par **Leonna** Sam 30 Juil - 20:04

Je ferais préparer ta chambre et je ferais en sorte que tu ais tout le confort nécessaire. Une fois que tout le monde sera prêt nous irons au Castel afin de te faire visiter et de t'indiquer ta chambre. Tu te sentiras bien ici, crois moi.

Et l'ours s'éloigna, l'enfant qui devenait le frère de Leo dans les bras. Un sourire tendre étendit les lèvres féminines, qui respiraient pour la première fois le bonheur complet.

Ils avaient fait déjà beaucoup, et la jeune Bouclée savait déjà qu'elle leur devait d'être loyale, juste et souriante. Se faire adopter à 13 ans n'était ni drôle, ni simple, au début. On se sent étranger, car l'on est différent. Pas du même sang.

Mais la vraie noblesse, était seule du coeur, et elle était certaine que ses deux nouveaux parents en était emplis. Elle se devait d'être une vraie jeune fille, pour qu'ils soient fières.

- Je ne vous déçeverai pas. Et je ne recherche aucunes richesses, juste une famille... Je vous remercie pour l'accueil, et j'espère vous rendre fières de moi.

Une promesse d'un avenir glorieux, mais qui sait ? L'amour, le chagrin, pourrait aussi l'emporté un jour. Mais à 13 ans... On est invincible !*

Spoiler:

par **valeryane** Sam 30 Juil - 20:43

Val serra encore Leonna dans ses bras et se releva, son ours précisa qu'il allait faire préparer la chambre, Val tendit la main, à sa fille car tel était chose faite dans son coeur à présent, cet enfant serait considérait comme le leur, et serait d'une colère monstrueuse si quelqu'un faisait allusion à son adoption, Val quand son coeur avait décidé rien ne pouvait l'enlever.

Vient nous allons au Castel te montrer ta heu! Grand maison, mais t'inquiète pas Sinatra ma dame de compagnie et Aarhon ne sont jamais loin si tu te perd tu cris très fort, on a de la voix dans la famille, d'ailleurs demain nous irons en ville, pour acheter du tissus je te ferais quelques robes.

Et oui Val en tant que couturière voulait que ses enfants est de jolie robe à mettre, Val elle même était très coquette, donc il était normale que ses enfants soient impeccable. D'ailleurs la première chose qu'elle avait faite c'était en faire pour son ours d'époux, pas qu'il était mal habillé mais il avait que des tenues de combat ou pour les armures, il fallait quand même quelque tenue cérémonial, et ce noir en plus de temps en temps elle glisser du rouge, du gris et du blanc pour casser un peu le noir, elle se retourna vers son tendre.

Nous te suivons mon amour

par **Amarante** Dim 7 Aoû - 15:44

A périgueux, elle avait fait une belle découverte ... En rentrant à Sarlat, elle avait retourné tout son atelier pour trouver d'où elle avait déjà vu ce blason ... Elle le connaissait et elle en était sûre ... Après avoir trouvé, elle l'avait regardé les yeux écarquillés un grand moment se demandant si c'était bien vrai ... Pourtant les blasons étaient bien les mêmes ...

Elle avait donc quitté Salignac avec la permission de la Marquise et avait pris le chemin du Lugan ... Depuis le temps qu'elle devait y aller, Arga serait content ...

Après quelques jours, elle arriva enfin devant la grille du domaine. Le coché s'arrêta et il alla se présenter au garde. Elle attendit à l'intérieur du coche, avec son petit trésor dans les mains ...

Ho hey de la garde ! Vous avez une visite !

par **Argawaen** Dim 7 Aoû - 15:52

Le garde faisait sa sieste quotidienne lorsqu'une voix le fit sursauter. Bien entendu il se cogna contre quelque chose autour de lui puis se leva en râlant jusqu'au portail.

B'jour m'sieur ! Vous êtes?

Le garde ronchon se plaça devant le portail et attendit patiemment avant d'ouvrir le portail.

Si vous v'nez voir l'Senher il est occupé, mais j'peux v'z'em'ner jusqu'à lui.

Ayant reçu une réponse affirmative du coché le garde ouvrit le portail afin qu'ils puissent entrer et indiqua le chemin jusqu'aux salons

par **Amarante** Dim 7 Aoû - 16:12

B'jour m'sieur ! Vous êtes ?

Enfin un garde daignait se faire voir ... Heureusement qu'à Salignac ils n'étaient pas comme ça sinon le Vicomte piquerait une crise ... Et tout le monde savait que les crises du Vicomte étaient phénoménal ...

Le coché s'inclina et se présenta ...

Bonjour, je viens de la maison de Salignac et vous avez la visite de Damoiselle Kermawen ...

Il regarda le garde et le vit ouvrir la grille ...

Si vous v'nez voir l'Senher il est occupé, mais j'peux v'z'em'ner jusqu'à lui.

Le coché s'inclina de nouveau puis vint ouvrir la porte pour en faire descendre la jeune femme qu'il avait amené jusqu'ici ...

Damoiselle, si vous le voulez bien, nous sommes arrivés et cet homme va vous conduire ...

Quand la porte fut ouverte, elle tourna la tête vers ce brave coché qui l'aidait à descendre. Doucement, mais surement elle se retrouva dehors sous un soleil à moitié couvert ...

Trugarez Gustave ... Prenez vos aises, je pense en avoir pour un bon moment ...

Le coché s'inclina et remonta en voiture pour aller certainement vers l'écurie, alors qu'elle suivait le garde qui allait la mener vers sa destiné ...

par **Catherine_Elisabeth** Mer 10 Aoû - 12:32

La petite princesse avait décidé d'aller saluer son filleul. Et par la même occasion, Arga, Val et toute leur joyeuse troupe !
Cela faisait un moment qu'elle remettait cette visite à plus tard. Aller à Lugan, alors que d'habitude, c'était sa mère qui faisait ce genre de visite, lui paraissait étrange.
Bientôt elle recevrait le contreseing des mains de la hérauderie, et elle deviendrait suzeraine d'Arga. Ce qui lui paraissait encore plus bizarre.
Elle choisit une robe cavalière blanche, portant encore le deuil de sa douce maman. Parfois elle se demandait si elle arriverait un jour à ne plus l'afficher.
Sans doute jamais.

Sa jument noire, offerte par son père était des plus fougueuses. Mais la demoiselle avait un don avec ce genre de bête, et même les plus sauvages devenaient de véritables agneaux sous ses mains habiles.
Elle ne mit donc pas longtemps à faire le trajet entre Lavaur et Lugan.

Une fois devant le poste de garde, elle chercha le garde du regard

Bonjorn à vous ! Je suis Catherine Elisabeth de Castelléo Casaviecchi ! Pourriez vous prévenir le Seigneur de Lugan et sa promise, que je viens les saluer ?

par **Argawaen** Mer 10 Aoû - 13:03

Décidément cela n'arrêtait pas ! Le Garde se demandait quand est-ce qu'il allait pouvoir pioncer tranquillement?
Grognant il s'approcha du portail et en entendant le nom il se mit au garde à vous et salua comme il se devait la Donà Casaviecchi.

Oh... S'cusez moi Donà Catherine... Le Senher reçoit sa famille mais il se fera une joie de vous recevoir.

Si vous voulez bien me suivre jusqu'à la salle commune

Le garde précédé la jeune Donà et la conduisit jusqu'à la salle commune où se trouvait le Senher et sa famille.

par **Maëlys** Sam 27 Aoû - 19:58

Quelle idée saugrenue ! "La gamine ? A Lugan ? Impossible !" vous aurait répondu n'importe quel bougre connaissant un tant soit peu la peste de Saint Clément. Maëlys avait perdu sa mère et elle en tenait rigueur depuis des mois à Argawaen. Son frère cadet, Thibault, prenait les choses avec plus de philosophie et lui avait au moins fait accepter l'idée que cet ours de malheur ait pu produire un drôle de mélange qui partageait du sang avec eux.

Et Maëlys avait rencontré Alistaïr... Explosivement, bien entendu.

Maintenant, elle ne savait plus trop où elle en était. Le premier contact passé, comment aurait-elle pu haïr ce frère, ours un peu, mais plus adorable encore ? Alors finalement, comme elle était à court d'idées, elle avait fait ce qu'on lui avait demandé, bêtement. Ainsi, Maëlys avait prit la route de Lugan, sans vraiment savoir ce qu'elle pourrait bien faire là-bas. D'autant que Thibault ne l'accompagnait pas ! Hé non ! Môssieur adorait son maître, mais môssieur devait rester à Bourga pour faire tourner la forge de leur mère ! Pour une fois, Maëlys, elle aurait bien aimé qu'Arga passe avant le reste. Et pourtant, elle lui avait pas pardonné ! Ha oui, mais ça, on l'a déjà dit.

- Arrêtez-vous là, ça sera parfait. Je vais marcher un peu... Oh vous pouvez repartir, je suis pleine de ressource quand il s'agit de m'évader. Et puis, j'ai tout de même un petit espoir que cela se passe sans accrochage.

En vérité, ça dépendait surtout de la jeune fille, l'accrochage. Parce que les Dehuit, ils n'arrêtaient pas de lui ressasser qu'elle serait accueillie à bras ouverts. Voilà donc Maëlys qui descend de la voiture, qui paye le conducteur et qui observe les chevaux repartir pour Limoges, ou peut-être ailleurs, qu'en saurait-elle ? Et puis elle se décida enfin à faire face à ces pierres, sur lesquelles étaient gravées cri et devise du seigneur des lieux.

- Pfffh !

marmonna t-elle.

S'il était vraiment sans défense, ça m'étonnerait qu'il soit si redoutable que ça.

Et ça, elle le tenait sûrement de sa mère, qui n'avait pas laissé le corps de son frère d'armes -et aussi de sang, comme elle se plaisait à le dire- sans cicatrice. Bref, Maëlys se trouvait dans l'entrée maintenant et elle ne distinguait nulle cloche, nulle grille, rien à quoi s'attaquer pour se faire annoncer pompeusement. Elle fronce le nez et remarque enfin la cabane du gardien, sur laquelle elle vient toquer fermement.

- Hé ! Vous êtes du monde là dedans ? J'attends !

Un trait de caractère, tout de même, qu'elle a en commun avec ceux qui habitent ici. Maëlys n'aime pas attendre.

par **Maurice** Sam 27 Aoû - 21:45

Petite description de Maurice, il avait été enrôlé comme garde de Lugan car il avait demandé à son seigneur autant de fois que possible afin qu'il l'accepte. Pas bien fin l'homme avait réussit à se faire enrôler et il avait pour rôle de surveiller l'entrée. Ne voulant pas décevoir l'homme qui lui avait fait confiance le Maurice essayait de faire de son mieux pour paraître le plus normal possible.
Il était brun, assez petit et mince et comme dit plus tôt il n'était pas bien fufute.

Maurice qui essayait de faire ses lacets de bottes entendit la porte se faire taper dessus comme jamais... Haussant un sourcil le Maurice se levait et une voix féminine s'était faite entendre.

- Hé ! Vous êtes du monde là dedans ? J'attends !

Vous êtes du monde là-dedans? Comment être plusieurs dans un poste de garde aussi petit? La donzelle était si aveugle que ça? Bon Maurice ! Tu pousses le bouchon un peu trop loin ! Pas de commentaires négatifs !
Ouvrant la porte il regarda la jeune femme et prit la parole.

Bien l'bonjorn Donà ! Puis-je vous aider? Vous êtes sur les terres de Messer Dehuit de Malemort ! Etes-vous certaine d'avoir frappée à la bonne porte?

De son regard niais il penchait légèrement la tête sur le côté et en profitait pour jeter un coup d'oeil sur ses lacets de bottes.

par **Maëlys** Sam 27 Aoû - 22:16

Et le Maurice sortit de la baraque à frit... Mais n'importe quoi, où est-ce qu'elle va chercher des conn*ries pareilles ? Donc, Maurice sortit... de sa baraque... A la limite on pourrait considérer que c'est son baraquement puisque pour une si petit seigneurerie il ne doit pas y avoir 36 000 portiers. Mais on s'éloigne à nouveau. DONC ! Maurice sortit !

Bien l'bonjorn Donà ! Puis-je vous aider? Vous êtes sur les terres de Messer Dehuit de Malemort ! Etes-vous certaine d'avoir frappée à la bonne porte?

La jeune fille releva le menton, et son air devint plus hautain encore qu'il ne l'était déjà. Le visage se crispait légèrement, mais surtout, du fait de s'être redressée, le décolleté s'avançait prodigieusement. Ho, pas qu'elle soit très pourvue de la gorge, mais elle avait le minimum, ce qu'il fallait là où il fallait. Et puis, elle le mettait bien en valeur dans sa jolie houppelande à corset "Z&Z", ce qui lui valait bien des coups d'oeils glissants dans la jolie mais ennuyeuse capitale où elle vivait.

- C'est bonjour, monsieur. Pas bonjorn ! Bonjorn... Il n'y a que les bouseux pour parler ainsi !

D'abord, ça, c'était fait. Non mais, elle n'allait pas se laisser parler ainsi ! D'abord ! Mais passons plutôt à la suite. Ainsi, le sourire se fit plus mielleux. La gamine avait besoin du Maurice alors autant se le mettre dans la poche dès le début. Et, comme elle l'avait dit à son voiturier, pour s'échapper, elle était un as (pas du volant, mais comme les bornes n'existeront de toutes façons que grâce à Napoléon, on se fiche du célèbre jeu et de sa botte anti-accident).

- Quant à savoir si j'ai frappé à la bonne porte, à vrai dire, je ne le sais pas, monsieur. Je viens voir le seigneur de Lugan, certes, -ou peut-être son héritier en fait, j'avoue ne plus trop savoir exactement ce que je viens faire dans ces contrées- mais je me demande si je fais bien ou non. Alors, monsieur, dîtes moi... Votre chef est un bon chef ?

Et maintenant, la morveuse empruntait un air angélique pour atteindre la réponse. Doux sourire rassurant, léger clignement des yeux à intervalles réguliers, afin d'encourager le garde à être aussi fidèle que possible. Fidèle, dans la version des faits rapportés, bien sur. La jeune fille n'en avait cure, que Maurice ne soit pas fidèle à son maître.

par **Maurice** Sam 27 Aoû - 22:27

- C'est bonjour, monsieur. Pas bonjorn ! Bonjorn... Il n'y a que les bouseux pour parler ainsi !

Bouseux? Mais pour qui elle se prenait la gamine? C'est l'accent du sud, y'a bien que des bourgeoises de ce genre qui ne pouvaient pas comprendre. Qu'est ce qu'elles pouvaient être naïves ces femmes... Bien qu'il n'était pas bien fin il comprenait au moins ça, et c'était déjà beaucoup...

Ici vous êtes en terre Toulousaine, enfin de Tolosà ! Alors au lieu de dire n'importe quoi apprenez donc le langage local ! Y'a bien que des gamines de vot' genre pour ne pas comprendre cela... Décidément les jeunes m'étonneront toujours...

- Quant à savoir si j'ai frappé à la bonne porte, à vrai dire, je ne le sais pas, monsieur Maurice. Je viens voir le seigneur de Lugan, certes, -ou peut-être son héritier en fait, j'avoue ne plus trop savoir exactement ce que je viens faire dans ces contrées- mais je fais bien ou non. Alors dîtes moi, monsieur Maurice... Votre chef est un bon chef ?

Maurice la regardait faire et se demandait si elle n'avait pas un problème... En plus d'avoir des tics et des tocs le Maurice espérait que son maître ou que son jeune fils connaissait cette donzelle pas bien intelligente...
M'enfin lui il pouvait parler il avait le QI d'une huître en décomposition mais il fallait paraître intelligent et instruit avait dit son maître. Alors il essayait de faire de son mieux...

Etes-vous malade jeune femme? Vous semblez pas très nette... Concernant mon chef c'est le meilleur que je connaisse ! C'est lui qui m'a donné une chance de le servir et je le décevrais jamais ! D'ailleurs... C'quoi votre nom? Parce que moi j'vous connais pas et je laisse pas entrer n'importe qui...

Passant sa main derrière son propre dos il agrippait doucement sa dague et était prêt à la clouer sur place cette donzelle...

Vous v'nez d'où? J'veux tout savoir sur vous, et rassurez-vous, vous aurez beau bomber votre poitrine comme vous le faite j'en ai connu des biens plus formées et fermes que la votre...

Bien que cela n'était pas vrai et qu'il n'avait jamais touché à une femme le Maurice avait suivit les conseils de son Seigneur, toujours savoir répondre avec méprit lorsqu'on le provoquait, et c'est ce qu'il faisait, du moins il essayait..

par **Maëlys** Sam 27 Aoû - 22:50

Beuh ! Maëlys, elle parlait le françois correct, elle avait certainement pas besoin d'apprendre un quelconque patois de nul pour se faire accepter par les gens du pays. A d'autres ! Elle était bien trop mignonne pour qu'on ne l'accepte pas comme elle était. C'est vrai, elle ne boudait presque jamais en plus.

Etes-vous malade jeune femme? Vous semblez pas très nette... Concernant mon chef c'est le meilleur que je connaisse ! C'est lui qui m'a donné une chance de le servir et je le décevrais jamais ! D'ailleurs... C'quoi votre nom? Parce que moi j'vous connais pas et je laisse pas entrer n'importe qui...

- Hé ! Moi ?? Malade !! Non mais et avec ça ? Un cognac frais ? Avec des fraises des bois ? Ouh !

La gamine fronça les sourcils en une mimique sévère. Alors là, il l'a bien cherchée. Mais apparemment ça n'était pas fini, parce que le Maurice avait besoin de renseignements pour la laisser passer ? Non mais où allait le monde ? Comme si c'était aux serviteurs de faire la loi ! Elle était noble, Maëlys, ou au moins fille de, alors il n'allait pas l'avoir comme ça.

Vous v'nez d'où? J'veux tout savoir sur vous, et rassurez-vous, vous aurez beau bomber votre poitrine comme vous le faite j'en ai connu des biens plus formées et fermes que la votre...

Mais là, c'est était trop. Elle savait qu'elle était assez plate, mais elle ne supportait pas qu'on critique sa poitrine. Déjà que le sale gosse la traitait toujours de planche à pain... Alors Maëlys avança d'un pas et écrabouilla les orteils de Maurice d'un coup de talon bien senti. Mais ce faisant, et comme il remuait -tout de même, elle n'y avait pas été de pied mort- elle entrevit la lame qui scintilla un instant à côté de l'homme avant de venir se replacer dans son dos.

Alors la damoiselle ouvrit de grands yeux de biche effarouchée et recula de trois pas en arrière. Elle regarda ses mains, puis la bourse qui pendait à son poignet sans savoir comment elle pourrait se défendre. Enfin, elle se rappela posséder une arme et plongea donc en vitesse les doigts dans sa manche gauche pour en tirer une dague bien particulière. La chose la plus marquante ? Une grosse pierre chatoyante teintée d'un rouge profond et gravée d'un V sans équivoque pour ceux qui connaissaient l'histoire de ce poignard. Mais Maëlys, elle, ne le savait pas. Et elle se demandait pourquoi sa mère, dont l'initiale était un M, lui avait transmis cette dague gravée d'un V.

- N'approche pas ou je te tue !

Puis se rendant compte que la menace n'avait rien de crédible au vu de la façon maladroite dont elle tenait la dague.

... Ou je le dis à ton maître !

par **Maurice** Sam 27 Aoû - 23:01

D'un coup comme ça sans prévenir il sentit quelque chose de pointu lui écraser les orteils et l'homme poussa un grand râle de douleur !
Automatiquement il avait lâché prise sur sa dague et il vit la jeune donzelle reculer et sortir une dague. Bien qu'il n'était peut-être pas bien intelligent il savait se servir d'une arme, il avait eu un excellent maistre d'armes et il allait se défaire de cette petite rapidement... Elle commençait sérieusement à lui taper sur le système.

Le Maurice l'observait avec sa dague, elle voulait le tuer, en tout cas c'était pas avec une main qui tremblait qu'elle allait faire grand chose. Il sortit sa dague à son tour et s'approcha de la jeune femme. Dans tous les cas elle ne le tuerait pas, elle avait besoin de lui pour qu'il la conduise auprès de son maître. Le garde s'approchait donc et frappait un grand coup dans l'arme de la donzelle, il l'attrapa par le décolleté - Pinaise c'était ferme là-dedans - et posa la lame de son arme sous sa gorge.

Alors maintenant tu m'écoutes ! Tu commences à me taper sur le système !

Quand le Maurice tutoyer c'était très mauvais signe...

Fini les gamineries ! Maintenant tu te présentes et ensuite tu te tiens tranquille ! COMPRIS ?!

La main du Maurice accentuait machinalement la pression sur le décolleté de la jeune femme et il espérait bien avoir une réponse, il n'hésiterait pas à la laisser sur place bien que son maître n'apprécierait pas tellement...

ALORS ?!

Le garde planta son regard dans le sien et commençait sérieusement à perdre patience.

par **Maëlys** Dim 28 Aoû - 0:06

Mais la chose qui lui jouerait peut-être le plus de tours, c'est qu'on ne lui avait jamais appris à se battre. Ou plutôt, rétablissons les choses, qu'elle n'avait jamais accepté de perdre son temps à l'initiation à des armes dont elle ne se servirait jamais. Enfin, sauf aujourd'hui. Et aujourd'hui, elle en avait pris pour son grade. La dague avait giclé et la jeune fille se tenait maintenant la main droite, cuisante, dans la gauche. Alors quand en plus le Maurice, qui poussait le bouchon un peu trop loin, l'attrapa sans ménagement par la houppelande, fourrant bien peu délicatement ses doigts dans le décolleté de Maëlys, et tout cela pour lui presser une lame contre la jugulaire, elle n'était plus qu'à deux doigts d'éclater en sanglots.

Alors maintenant tu m'écoutes ! Tu commences à me taper sur le système ! Fini les gamineries ! Maintenant tu te présentes et ensuite tu te tiens tranquille ! COMPRIS ?!

Garce, la gamine, peste, la gamine, mais pas courageuse pour un sou, la gamine. Elle avait des larmes plein les yeux et couina pour protester au cri qu'il poussa ensuite.

ALORS ?!

Elle regarda le garde d'un air incertain, presque craintif. Mais finalement, c'est encore son instinct de chieuse qui prit le dessus et les mots suivants s'échappèrent de la jolie bouche aux lèvres d'un vermillon léger :

- D'abord, monsieur, ce sont aux hommes de se présenter en premier. Or, il ne me semble pas avoir entendu votre nom.

Et le regard se fit plus acéré, défiant. Les doigts de la jeune fille s’abattirent sèchement sur ceux du garde, dont elle n'appréciait pas la présence dans un lieu qu'elle préférait garder hors de portée. D'entre ses dents serrées s'échappèrent à nouveau quelques mots plus aiguisés, rivalisant avec la caresse de ceux entendus quelques minutes plus tôt.

- Je puis vous assurer que si vous avez un jour l'honneur de découvrir mon nom, vous allez regretter de m'avoir traiter ainsi.

par **Alistair** Dim 28 Aoû - 10:23

hrp : pour la continuite du rp ig je mettrai l'image du perso afin de montrer son age. Je changerai l'avatar quand on aura finit tous les rp de Alistaït petit.

Alistaïr etait en charge de la sécuruté sur le Domaine. Comme chaque jour il faisait l'inspection de ce dernier ainsi que des gardes presents. Il etait tres pointilleux et ne laissait rien au hasard malgres son air non-chalant par moment. Il avait reussi à gagner le respect de ces derniers par ses aptitudes au combat mais aussi par de nombreuse mise au poing en tete à tete avec quelques uns de ses derniers le prenant juste pour un fils à Papa. Mais ceux qui le connaissait depuis sa plus tendre enfance parmis les vieux les gardes l'avaient vu se battre à de nombreuse reprise et pas epargne par son pere pour l'apprentissage des armes.

Il arrivait vers la porte du Domaine quand il entendit Maurice hausse la voie vers l'exterieur. Il s'approcha donc et l'interpella ne sachant pas à qui il s'adressait.

Maurice, que se passe t il ici?

par **Maurice** Dim 28 Aoû - 10:54

- D'abord, monsieur, ce sont aux hommes de se présenter en premier. Or, il ne me semble pas avoir entendu votre nom.

Elle était culottée la p'tite ! Non seulement elle refusait de se présenter mais en plus elle lui demandait de se présenter. Et puis quoi encore ? Il voyait que la jeune femme avait les larmes aux yeux, qu'elle avait répondue en couinant, et voilà qu'elle continuait... Etait-ce une comédienne?
Maurice appuyait légèrement sur sa gorge avec sa dague et prit la parole.

Je n'ai rien à te dires moi ! Tu es ici sur les terres d'un Senher ! C'est à toi de te présenter gamin !

Voilà maintenant que la main de la jeune femme s'abattait sur la sienne...

- Je puis vous assurer que si vous avez un jour l'honneur de découvrir mon nom, vous allez regretter de m'avoir traiter ainsi.

Et moi je peux t'assurer que mon maître se fera une joie de te faire parler ! Il en a connu des plus coriaces que toi !

Le garde en avait plus qu'assez, il avait envie de l'assommer et de s'en servir comme paillasson mais il ne pouvait le faire... Il devait prendre sur lui...
Soudain une voix retentit, c'était celle du fils de Lugan.

Maurice, que se passe t il ici?

D'un coup comme ça il se mit au garde à vous et salua le chef de la garde.

Messer Dehuit de Malemort ! Content de vous voir ! Disons que cette jeune femme est insupportable, provocatrice et qu'elle refuse de se présenter !

par **Maëlys** Dim 28 Aoû - 15:06

Trop fière, elle aurait pu bêtement y laisser la vie, la gamine, ce jour-là. La pression se resserrait, lui coupant la respiration. Quant à la lame du garde, elle s'appuyait lentement. Et à mesure qu'elle s'enfonçait dans les chairs du cou féminin, elle menaçait de découper la peau toute fine au moindre mouvement latéral. Ca devenait insoutenable, si bien que Maëlys n'était même plus capable d'articuler un mot. Et soudain, le miracle fut.

Maurice, que se passe t il ici?

Immédiatement, le garde la relâcha et la Saint Clément prit une grande bouffée d'air avant de relever la tête. En voyant son frère, un immense soulagement s'empara d'elle, la poussant à le rejoindre pressément pour se réfugier contre lui. Les bras passés autour du cou du jeune homme et le front appuyé sur une épaule rassurante, elle se mit [s]bien sur[/s] à accuser l'homme de main.

- Ho Alistaïr ! Tu aurais dû m'avertir de la cruauté des gardes de Lugan. A peine étais-je arrivée qu'il voulait déjà m'égorger !

par **Alistair** Dim 28 Aoû - 16:03

D'un coup comme ça il se mit au garde à vous et salua le chef de la garde.

Messer Dehuit de Malemort ! Content de vous voir ! Disons que cette jeune femme est insupportable, provocatrice et qu'elle refuse de se présenter !

Alistaïr vit le garde se mettre au garde à vous et le saluer. Il lui rendit le salue pour le liberer de sa position. Il regarda derriere la femme que Maurice avait empoigné et presque egorgé. Il reconnu sa soeur qui se jetta dans ses bras pour se proteger. Il la sera fort contre lui et regarda d'un air mauvais le garde.

Ho Alistaïr ! Tu aurais dû m'avertir de la cruauté des gardes de Lugan. A peine étais-je arrivée qu'il voulait déjà m'égorger !

Tu pousse le bouchon un peu trop loin Maurice ! Tu sais que tu as faillie egorger ma soeur??? Si tu releve la main sur elle je te tranche les mains!

Regardant sa soeur dans ses bras.

Ne t'en fait pas tu es en securite et meme si Maurice est parfois excessif il n'en reste pas moins un bon garde. Allez viens avec moi je vais te presenter les lieux et les gens d'ici.

Il regarda Maurice de nouveau.

La prochaine fois que vous voulez querir le non du personne et que celle ci ne veut pas la donner vous la laisser à l'exterieur et venez me demandez au lieu de la faire rentrer et ensuite de vouloir la faire passer à trépas.

par **Maurice** Dim 28 Aoû - 16:10

Maurice ne disait mots, la jeune donzelle avait fait sa petite victime et c'était lui qui avait prit. Ne voulant pas protester il allait cependant retenir le fils de son maître afin de prendre la parole.

Je m'en excuse messer mais... J'aimerais d'abord que le maître des lieux, votre père vienne ici afin de confirmer vos dires. J'ai ouïe dire que vous aimiez la gente féminine un peu trop et il m'a demandé de le faire venir.

Fixant son chef, geste déplacé mais il voulait montrer sa détermination il poursuivit.

Je dois faire venir votre père afin qu'il autorise cette entrée. Je vous prierais d'attendre ici avec tout le respect que je vous dois.

Maurice fit sonner la cloche afin que la garde arrive et par conséquent alerter son Seigneur.

par **Argawaen** Dim 28 Aoû - 16:21

La cloche s'était faite entendre, sans perdre une seule seconde il avait attrapé son épée et sortit en cavale du Castel accompagné de deux hommes.
A l'entrée on pouvait voir un attroupement de ses hommes qui encerclaient deux personnes, enfin trois avec le Maurice...
Le Dehuit de Malemort ralentissait la cadence, la situation semblait sous contrôle, c'était donc tranquillement qu'il rejoignait ses hommes.

D'un signe de main ses soldats s'écartèrent et dans le cercle on pouvait voir Maurice donc, son fils et une jeune Donà qui ressemblait beaucoup à... Maëlys ?!
Oh pinaise, qu'avait fait le Maurice?... S'approchant de lui il lui mit une bonne taloche derrière la tête et prit la parole.

Tu as perdu la tête Maurice ?! C'est mon fils et sa demi-soeur !

Le Maurice se préparait à parler lorsqu'il le coupa.

Je veux rien savoir ! TOUS A VOS POSTES !

Les gardes de Lugan exécutèrent puis le Dehuit de Malemort s'approcha des frangins...

Qu'on m'explique, je m'attendais pas à votre visite Donà Maëlys, soyez la bienvenue et pardonnez cette entrée plutôt mouvementée, mon fils, je crois que tu as un tas de choses à me dire. Et surtout je ne veux pas d'explications à rallonge, FAIT VITE MON FILS !

Agacé de la situation l'homme posa sa main sur le pommeau de son arme et fixait droit dans les yeux son jeune fils.

Une dernière chose, tu es CHEF de la garde ! Tu as intérêt à te montrer plus sérieux que ça ! Maurice j'en fais mon affaire car c'est moi qui le brief, mais tes hommes auraient du t'obéir et ne pas suivre les ordres de Maurice. J'attends de toi plus de discipline ! Tu deviens un homme et je ne veux pas d'une loque à la maison ! COMPRIS ?!

Il était dur avec son fils mais il le voulait, il voulait qu'Alistaïr soit un bon chef, il allait être le chef de famille à sa mort et il devait être respecté, or là Maurice avait gagné face à son fils et il ne pouvait tolérer ça.

par **Alistair** Dim 28 Aoû - 16:36

Tu te prend pour qui Maurice à vouloir me defier ainsi? Tu te crois dans un bordel ici et que je fais venir toute les catins que je ramsse en taverne? Appel mon Père et après si tu veux me defier nous reglerons cela en salle d'arme juste toi et moi.

Alistaïr vit son père arriver avec des gardes collé à ses talons.

Qu'on m'explique, je m'attendais pas à votre visite Donà Maëlys, soyez la bienvenue et pardonnez cette entrée plutôt mouvementée, mon fils, je crois que tu as un tas de choses à me dire. Et surtout je ne veux pas d'explications à rallonge, FAIT VITE MON FILS !

Il ecouta son Père attentivement restant toujours stoïk et digne sans esquisser la moindre faiblesse.

L'explication est tres simple j'ai invite ma soeur ici et TON garde à voulu faire du zele peut etre pour gagner ton respect. Il m'a dit qu'il fallait qu'il te previenne si des personnes fémines venait ici donc j'aimerai comprendre? Aurai je pour habitude pour ma part de faire venir n'importe qui ici?

Une dernière chose, tu es CHEF de la garde ! Tu as intérêt à te montrer plus sérieux que ça ! Maurice j'en fais mon affaire car c'est moi qui le brief, mais tes hommes auraient du t'obéir et ne pas suivre les ordres de Maurice. J'attends de toi plus de discipline ! Tu deviens un homme et je ne veux pas d'une loque à la maison ! COMPRIS ?!

Effectivement je suis le chef de la garde, et mes hommes ne sont pas venu avec moi je n'avais besoin de personne pour regler ce probleme. Donc peut etre devrais tu demande à certains des TIENS de prendre conscience de leur hiérarchie et si ses derniers on des soucis je peux leur prouver ma valeur ou il le desir et avec l'arme qu'il veule. Etrange que la plupart fond ce que je leur ordonne et d'autre se croit plus malin ou prefere t'obeir... D'ailleur regarde pas toi moi ou sont les hommes qui obeissent.

Ill siffla et les gardes sortie de l'ombre l'arc bandé à la main pret à decocher leur fleche sur des intrus.Il regarda son Pére ayant toujours sa soeur aupres de lui.

Comme tu peux le voir le travaille est fait et la sécurité de Lugan reactive. Ce n'est pas parce que tu ne vois pas que cela ne se fait pas. Un seul geste de ma part et la cour etait envhait par nos hommes mais avant de mettre le feu de partout ils attendant MES ordres.
Pour l'instant nous avons une invitée qui a ete recu comme une gueuse alors qu'elle est ma soeur il serai preferable de la conduire a Maman et de finir le differend sur la garde dans un lieu plus adequate.

Alistaïr regarda la salle d'arme pour prouver à son Père qui n'avait peur d'aucun garde ni de prendre des coups.

par **Maëlys** Dim 28 Aoû - 17:30

Et là, c'est le drâme. Mais où va le monde ? Non mais sérieux ! Ces bouseux vraiment ! Le Maurice se rebella comme si de rien était, mais Alistaïr ne se laissait pas faire. Normal, en même temps, c'était son frère après tout. Du coup la gamine, elle regarde le garde d'un air mauvais, l'air de dire "qu'est-ce tu dis des trucs méchants à mon frère toooaaa ???" avec le froncement de sourcils, le pincement de lèvres, toussa toussa. Ca, c'est le mode [Maë super énervée ON].

Et puis la cloche est sonnée. Et tout le monde arrive, et l'Arga en première ligne. Or, elle lui a toujours pas... /ZBAFF/ Oui, oui, on sait ! Alors pour le coup, elle fait moins la maligne. Elle laisse glisser les bras qui entouraient toujours le cou de son frère et se place plutôt à son côté, attrapant tout de même sa main pour la presser fort dans la sienne. C'est que y'a des gardes partout et le seigneur des lieux qui a l'air d'avoir trop dormi le soir précédent. Pas sérieux tout ça, on lui avait promis que sa femme savait le calmer et au lieu de ça il a l'air encore plus furax.

La jeune fille s'apprête alors à prendre la parole, pour défendre son frère mais aussi pour saluer le père. Mais nan, les hommes ont décidé de faire dans la démesure. Alors on tombe dans quoi maintenant ? Les gardes du vieux versus les gardes de l'héritier ? Tfaçons si jpuis me permettre, l'héritier il gagne dans tous les cas il lui suffit d'attendre que le vieux crève... /ZBAFF/ ... Aïeuh ! Bref, Maëlys, décidée à les interrompre, s'interpose entre l'ours et l'ourson et adresse un sourire affable au premier des deux.

- Argawaen ! Quelle surprise !

Notez la logique implacable de cette remarque.

Ca faisait tellemeeent longtemps ! Alistaïr m'a invité afin que je fasse la connaissance de votre genti... joli... Hum... Étonnante petite famille ! J'espère ne pas vous déranger trop longtemps. Enfin, je veux dire, j'espère que ma présence ne vous dérange pas trop. A peine arrivée, voilà déjà que tous les hommes de la seigneurerie se pressent ici pour faire ma connaissance ! Comme c'est coquasse !

Et la jeune fille, jouant le rôle à fond, se hisse sur la pointe des pieds pour déposer une bise sur la joue barbue de l'ours, comme s'ils étaient les meilleurs amis du monde. Elle redescend bien vite et se replace au côté de son frère. Certes, elle veut bien être arrangeante, mais quand même, on est mieux quand on le voit d'un peu plus loin, le seigneur de Lugan.

par **Argawaen** Dim 28 Aoû - 17:42

L'explication est tres simple j'ai invite ma soeur ici et TON garde à voulu faire du zele peut etre pour gagner ton respect. Il m'a dit qu'il fallait qu'il te previenne si des personnes fémines venait ici donc j'aimerai comprendre? Aurai je pour habitude pour ma part de faire venir n'importe qui ici?

Argawaen avait toujours un oeil sur ce qu'il se passait dans la famille, même à des lieues éloignés d'eux il connaissait le moindre évènement qu'il se passait... Rien ne pouvait lui échapper.

Sache mon fils que même loin de vous tous je saurais toujours ce que vous faite et ce qu'il se passe. Je sais que quelques femmes te tournent autour et je me méfie donc. Je ne veux pas d'une catin ici.

Effectivement je suis le chef de la garde, et mes hommes ne sont pas venu avec moi je n'avais besoin de personne pour regler ce probleme. Donc peut etre devrais tu demande à certains des TIENS de prendre conscience de leur hiérarchie et si ses derniers on des soucis je peux leur prouver ma valeur ou il le desir et avec l'arme qu'il veule. Etrange que la plupart fond ce que je leur ordonne et d'autre se croit plus malin ou prefere t'obeir... D'ailleur regarde pas toi moi ou sont les hommes qui obeissent

Regardant son fils en fronçant les sourcils le Dehuit de Malemort répliqua froidement.

Lorsque la cloche sonne il n'y a plus de hiérarchie qui existe, je reste le seul et unique chef de Lugan. Alors maintenant n'essaie pas de montrer que tu pourrais te battre à dix contre un, tu as aucune chance. Tu n'est pas infaillible Alistaïr, rentre toi ça dans le crâne. Je sais bien que c'est dur mais il te faudra apprendre. Les soldats de Lugan obéissent le plus à leur senher, ce qui est normal, tu as une poignée d'hommes et il est normal que la plupart ne t'obéisse pas encore et te défies. Tu es plus jeune que la plupart d'entre eux... A toi de montrer que tu es plus intelligent qu'eux.

Comme tu peux le voir le travaille est fait et la sécurité de Lugan reactive. Ce n'est pas parce que tu ne vois pas que cela ne se fait pas. Un seul geste de ma part et la cour etait envhait par nos hommes mais avant de mettre le feu de partout ils attendant MES ordres.
Pour l'instant nous avons une invitée qui a ete recu comme une gueuse alors qu'elle est ma soeur il serai preferable de la conduire a Maman et de finir le differend sur la garde dans un lieu plus adequate.

Devant ce spectacle ridicule le Dehuit de Malemort regardait cette fois-ci son fils avec déception... Mais à quoi il pensait à la fin...

Je t'ai demandé de gérer la sécurité de Lugan, pas d'envoyer tes hommes au suicide, tu crois qu'à cette distance un archer aura le temps de recharger son arc? Tu crois qu'un archer est meilleur au corps à corps qu'un fantassin? Non... Un archer est fait pour être en hauteur et en arrière ligne afin de protéger les fantassins et éliminer les premières lignes adverses. Il te reste beaucoup à apprendre sur la tactique et la stratégie mais je ne doute pas de toi...

Désignant deux hommes de son fils il poursuivit.

Vous deux, allez me chercher Valeryane, j'aurais à parler avec mon fils en privé.

Puis ce fut au tour de la Saint Clément d'entrer en scène, il se demandait bien ce qu'elle fabriquait, c'était bien la première fois qu'elle venait l'embrasser sur la joue, la dernière fois c'était limite si elle ne l'aurait pas accueilli avec une lame en plein coeur...
Ne cherchant pas à comprendre il s'approcha des deux jeunots.

Vous ne dérangez point Donà Maëlys, je suis juste étonné de ne pas avoir été informé de votre venue, j'aimerais bien être au courant de ce qu'il se passe un peu plus sur mes terres. Je n'ai rien fait préparer pour vous mais je vais arranger cela. Ma douce ne devrait plus tarder, je vais vous laissez entre femmes.

Tout en disant cela il avait passé son bras autour du cou de son fils et l'entrainait un peu plus loin...

J'ai quelques affaires à régler avec votre frère.

Dehuit de Malemort tenait toujours son fils et ils se dirigèrent vers la salle de garde...

par **valeryane** Dim 28 Aoû - 18:09

Elle était en train de coudre de faire une tapisserie pour décorer la chambre d'Alistair, une tapisserie de guerre avec des chevaliers et tout et tout, quand un garde entra dans le salon, elle sursaute et se piqua le doigt..

Aiiiiiiiiiiiiiiie..... Bordiiiiiiiiou didiou...........

Le garde sursauta aussi

Donà Valeryane le seigneur de Lugan votre heu! époux votre enfin le seigneur vous fait demanderà l'entrée du castel, il y aurait une jeune fille du nom de Mae qui attend avec votre fils.
Une jeune fille? Ma foi qu'est ce que c'était encore que cette histoire

Trés bien je viens

Ah! et bien elle se leva en suçant son doigt torturé par l'aiguille, posa la tapisserie, rajusta sa tenue et fila à l'entrée, ronchonnant après son doigt, elle arriva devant les portes.

Bonjour je suis là oui? Qu'est ce qui que? C'est pour ?

Val regarda la demoiselle, le garde et elle voyait s'éloigner son tendre et son fils, nameho! elle devait faire quoi là, en voila des manières d'ours, elle connaissait pas la jeune femme, ils auraient pu rester pour les présentations rhooo! Ils allaient l'entendre tout les deux tien..

Bonjour damoiselle je suis Valeryane de Llobregat Dame d'Aussillon, enfin Val cela ira plus vite
on m'a dit de vite venir à vous, vous êtes? Parce que les deux ours la bas qui vont je ne sais où, ils ne m'ont prévenu de rien et même pas ils nous présentent, je vous en prie venez suivez moi
nous allons dans un salon discuter et prendre un rafraîchissement

Val tendit ses bras pour inviter la damoiselle à venir, la jeune fille avait l'air en colère et Val ne savait pas trop pourquoi, peut être réussirait elle à lui rendre le sourire un moment parce que là, c'était soupe grimace .

par **Alistair** Dim 28 Aoû - 21:37

Alistaïr ecouta son Père parler et savait que leur ego alors forcement par une explication virile ce qui d'ailleur n'etait pas la premiere fois qu'elle avait lieu. Et tant qu'il serait debout il vendrait cherement sa peau comme toujours.

Sache mon fils que même loin de vous tous je saurais toujours ce que vous faite et ce qu'il se passe. Je sais que quelques femmes te tournent autour et je me méfie donc. Je ne veux pas d'une catin ici.

Laisse les tourner quand elles en auront marre elles s'arreteront. Puis il est vrai que tu es bien place pour savoir... Mais moi je ramene que des personnes bien ici!

Il le regarda faisant referce au demi de partout qui se trouvait.

Lorsque la cloche sonne il n'y a plus de hiérarchie qui existe, je reste le seul et unique chef de Lugan. Alors maintenant n'essaie pas de montrer que tu pourrais te battre à dix contre un, tu as aucune chance. Tu n'est pas infaillible Alistaïr, rentre toi ça dans le crâne. Je sais bien que c'est dur mais il te faudra apprendre. Les soldats de Lugan obéissent le plus à leur senher, ce qui est normal, tu as une poignée d'hommes et il est normal que la plupart ne t'obéisse pas encore et te défies. Tu es plus jeune que la plupart d'entre eux... A toi de montrer que tu es plus intelligent qu'eux.

Me prend tu pour un demeure je sais que tu es le seul Maitre à bord ceci n'empeche que si tu me donnes la responsabilite des gardes c'est pour que je les gere et j'ai deja prouve ma valeur contre certains maintenant si tu m'as confie cette tache c'est que tu me pensais capable si eux ne comprenne pas peut etre est il tant qu'il prenne leur retraite.

Il savait que ce qu'il etait en train dire allait se payer mais quand le vin est tire il faut tous boire alors pourquoi s'arrete.

Je t'ai demandé de gérer la sécurité de Lugan, pas d'envoyer tes hommes au suicide, tu crois qu'à cette distance un archer aura le temps de recharger son arc? Tu crois qu'un archer est meilleur au corps à corps qu'un fantassin? Non... Un archer est fait pour être en hauteur et en arrière ligne afin de protéger les fantassins et éliminer les premières lignes adverses. Il te reste beaucoup à apprendre sur la tactique et la stratégie mais je ne doute pas de toi...

L'archer est la pour la premiere salve afin de degrossir l'invasion.Puis il montra une autre entre du doigt ou se trouvait les fantassins arme à la main.Eux sont fait pour finir le travaille. Et c'est pas moi qui donne l'ordre à un garde de sonner la cloche pour une simple Donzelle...

J'ai quelques affaires à régler avec votre frère.

Les choses serieuses allaient commencer, il savait ou ils allaient et pourquoi. Il se laissa entraine par son père entandant les deux femmes faire connaissance.

par **Maëlys** Lun 29 Aoû - 14:10

- Comment ça des affaires à régler ? Non mais, c'est impossible ça ! Attendez partez paaaaas ! Grmfl !

Ca, c'est ce qu'elle aurait aimé dire. Seulement, elle n'en avait pas eu le temps. Ou peut-être n'avait-elle pas envie de crier pour les faire revenir alors que des tas de regards pouvaient se braquer sur elle en un instant. Ha, ça, Maëlys aimait se faire remarquer, mais dans le bon sens du terme, plutôt, quand même.

M'enfin, Valeryane débarquait aussi et elle pesta à sa place contre les Dehuit, alors ce n'était pas la peine d'en rajouter. Elle se retourna vers cette femme inconnue et écouta les titres. Oui, Alistaïr lui avait déjà parlé d'elle. Ce devait être la compagne de l'ours premier du nom alors. La jeune fille esquissa un sourire et inclina un peu la tête en guise de salut.

- Hé bien je suis...

La phrase resta en suspens et la gamine jeta un regard mauvais au garde, le premier, celui de l'entrée, celui qui avait sonné la cloche et par là ouvert les hostilités. Finalement, elle reporta son regard sur la dame d'Aussillon et répondit plutôt à la deuxième proposition.

- J'ai plusieurs choses à vous apprendre, je suppose que nous serons bien mieux dans un salon en effet.

Et sur ces mots, la plus jeune suivit son aînée à l'intérieur.

par **Alcimane_la_petiote** Mar 11 Oct - 11:06

OUIiinnnnnnnnnn j'ai pas accés a ma maison !! sniffff !!

(désolé je sais pas à qui m'adresser)

par **Argawaen** Mer 12 Oct - 10:19

(Accès donnés.)

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